Kassaman binnazilat ilmahiqat..." le plus noir des crimes est celui qui consiste à obscurcir la conscience politique et d’égarer tout un peuple" d'Emile ZOLA

Kassaman binnazilat ilmahiqat..." le plus noir des crimes est celui qui consiste à obscurcir la conscience politique et d’égarer tout un peuple" d'Emile ZOLA

Le nom de ce blog est sans doute évocateur de notre "nachid el watani" tant décrié par le passé parce que, associé au pouvoir Algérien illégitime. Après des décennies de disettes. Je voudrais faire de cet espace, un coin où tous mes compatriotes et autres amoureux de libertés, de démocratie, ou tout simplement d'histoire pourraient s'exprimer librement. En ce sens, nous vous souhaitons la bienvenue. En hommage à Nacer Hachiche, repose en paix et à bientôt ! Pour garder le contact avec notre chère patrie : http://www.alger-presse.com/index.php/presse-fr


Amara Benyounes en prend pour son grade ! Si nos deputés étaient tous comme celui-là

Publié par The Algerian Speaker sur 10 Juin 2015, 15:27pm

Catégories : #DEBATS A BATONS ROMPUS(hiwar bila houdoud)

Connu pour ses interventions franches au parlement, le député Tahar Missoum, membre du Rassemblement Algérien, n’a dérogé à ses habitudes lors de la dernière séance plénière, organisée en présence du ministre du commerce Amara Benyounès. Le représentant du parti dans la wilaya de Médéa est même monté au créneau, versant cette fois-ci dans la dérision. Évoquant le népotisme, la nouvelle loi concernant les licences d’importations ou l’absence d’inspection, Tahar Missoum n’a pas ménagé ses à critiquer ce ministère « spécifique », selon ses termes, qui autorise des importations superflues, qui nomme que des dirigeants « buveurs de whiskey », « criminels » et « voleurs d’argent ». Le député a aussi dénoncé le comportement paradoxal des autorités, qui promeuvent les produits nationaux mais octroient les licences d’importations de produits superflus. « Où est cet Etat ? », s’interrogeait-il. Une réaction qui n’a pas manqué de faire rire aux éclats les autres députés, contrairement au ministre Amara Benyounes, visiblement las, resté silencieux à contempler Tahar Missoum.

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